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Par Anonyme , le 13/06/2020 - 13:54

Bon, ce n’est pas une révolution … un simple ajustement prenant en compte les réalités de terrain …
Pour Salèses Mercières, c’est un sérieux retour en arrière
Est-ce que l’enjeu environnemental le justifie réellement ? Comment seront gérées les autorisations ? quel seuil limite ? la notion de groupe maxi ( comme actuellement, qui était intelligent ) est il maintenu ( souhaitable ! ) Les demandes par internet ? Comment éviter que le quota d’autorisation soit de fait consommé par les professionnels, enjeux commerciaux obligent …. on les voit pousser ....
Sinon, il est dommage qu’un au moins itinéraire d’intérêt majeur, et d’impact relativement modéré ( il y en a, oui, oui ) ne soit autorisé à titre temporaire ( par ex 3 ans ), permettant enfin !! de procéder à des études sérieuses, objectives, documentées, contradictoires sur l’impact de la pratique ( érosion, bruit, faune, cohabitation piétons, dérives … ) qui permettaient de mieux gérer de façon consensuelle la problématique dans l’avenir, et à mieux cibler les traces qui pourraient être ouvertes, …
Je reconnais volontiers qu’il n’est pas souhaitable de faciliter l’accès au cœur du parc – VAE aidant, explosion de la demande surtout commerciale …. – mais une interdiction quasi-totale et permanente est elle la bonne solution ?
Il me semble que dans ma prime jeunesse, le Vélo ( futur VTT … ) était libre à l’origine du parc, et que ce sont les dérives majeures constatées qui ont conduit à son interdiction ( cf l’accès au col de la Bonette, et puis banzai n’importe où ) ??